100 réponses donc assez représentatif
Jeunes et parents ont donné leur avis.
Une satisfaction globale de notre fonctionnement malgré les contraintes logistiques.
Des valeurs club pas assez inculquées et qui se perdent: obliger le JAP, je Joue, j'Arbitre, je Participe à tous les niveaux et pour toutes catégories !
Une difficulté sportive reconnue également lors de la réunion des éducateurs des équipes en CTC sur la gestion des groupes équipes 1 et 2/3 avec niveaux différents.
- les éducateurs des équipes 2 très déçus par les attitudes, le manque d'implication et la difficile gestion d'un groupe en sureffectif : un certain découragement et une perte de motivation pour continuer la saison prochaine.
- trop de différences dans l investissement des parents et dans la vie du groupe, ce qui démotivent trop les rares bonnes volontés que nous remercions encore. Manque d'esprit d'équipe est un point qui remonte.
L'équation n'est pas simple quand il y a un sureffectif à gérer. Entre la volonté de sécuriser/consolider l effectif de la 1, de tirer vers le haut un maximum d enfants en les intégrant dans les entraînements des équipes 1 et figer des groupes en début de saison, il y a débat.
Quand un enfant fait l effort de faire les 3 entraînements de la semaine, lui dire qu il ne joue pas le samedi est délicat par rapport à un enfant qui n'en fait qu'un par exemple ou 2 mais en négligeant le respect des consignes.
Tout ce dilemme repose sur les éducateurs qui se retrouvent avec des critiques sur leurs choix.
Les niveaux championnat Départemental 1 et la région nécessitent pour bien figurer au moins 2 entraînements par semaine avec une grande assiduité et du sérieux.
La compétition en département 2 est de fait un niveau moins exigeant même si les éducateurs espèrent beaucoup le même engagement.
Et regrouper les enfants par niveaux est quand même une meilleure opportunité pour qu'ils aient du temps de jeu et qu'ils prennent du plaisir à jouer.
Donc parents, joueurs et éducateurs, à vous de définir le projet pour la saison prochaine. Appelez vous dans cette période de cloisonnement pour en discuter et y réfléchir.
Le bureau reste à l'écoute.
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